Les Invisibles

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Suite à une décision municipale, l’Envol, centre d’accueil pour femmes SDF, va fermer. Il ne reste plus que trois mois aux travailleuses sociales pour réinsérer coûte que coûte les femmes dont elles s’occupent : falsifications, pistons, mensonges… Désormais, tout est permis !
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  • mercilienmortthankyouplusunUnDeuxtrois
    quatrecinqsixsepthuitneufdix

Monsieur Cinéma

 

 

 

Le ton est juste, mais le résultat n'est pas passionnant.
Mais le ton est juste. Et c'est probablement une expérience valorisante pour ces femmes.
Moi je me sentirais valorisé de participer à un film.

Corinne Masiero est comme toujours très bonne dans un film social.
J'aime pas quand elle en fait trop dans Marleau, mais dans un film social elle est toujours crédible.
Ceci dit avant d'être actrice elle était dans la galère, à Douai. J'aime bien cette femme, qui n'oublie pas d'où elle vient...

Je me permet ce commentaire parce que je suis né dans le Nord et j'y ai vécu 45 ans. Je connais un peu l'ambiance, et le sujet ^^

J'ai vu pas mal de film sociaux tournés dans le Nord Pas de Calais. D'ailleurs j'y retrouve à chaque fois cette dame, petite, ronde, avec des cheveux blancs courts et des lunettes. Dans ce film c'est elle Lady Di, Mme Pulail.

C'est vrai que la scène finale, style montée des marches de Cannes et la ou l'une des plus belles du film ^^

Faites vous votre propre avis.


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Merci pour le partage.

 

 

 


Par Monsieur Cinéma | Premium|
Naoned

 

 

 

D'accord avec le commentaire de Valérie44 ci-dessous.
Le projet du film apparait dès le titre >> mettre la lumière sur les "invisibles" et sur la grande pauvreté de la rue à travers ceux ou plutôt celles qu'en général on veut évacuer, tenir à l'écart et ne pas regarder. Le film choisit le ton de la comédie pour en parler de manière douce, sans misérabilisme, avec tendresse mais sans bons sentiments dégoulinants. En parallèle, il n'évacue pas la violence de la rue qu'il montre par petites touches subtiles : en s’attardant sur le mobilier « anti-SDF » des centres-villes, sur les silhouettes usées qui bringuebalent des cabas à bout de bras, ou encore en évoquant les dangers d'agression, sexuelle ou autre.

 

 

 


Par Naoned | Non Premium|
valérie44

 

 

 

Certains commentaires lapidaires ne valent même pas la peine qu’on y réponde… ce serait d’ailleurs intéressant de savoir combien d’entre eux ont été laissés par des hommes, je parierais qu’il y en a un max parce que dès que les femmes sortent du bois, c'est pour se faire taper dessus. Alors un film, pas complaisant, sur des femmes, les plus vulnérables, dans la rue, il faut tirer dessus à boulets rouges, hein ? Dans le même esprit, opposer, ou tenter d’opposer, femmes « friquées » et femmes de la rue, c’est vraiment une grosse ficelle, ça ne marche pas, désolée. Friquées ou pas, on est toutes femmes et on sait reconnaître un baillon quand on nous en met un sur la bouche.
Le dernier commentaire cependant me donne envie de répondre car un rien plus argumenté. On n'a pas dû voir le même film. Je ne vois aucun "rabais", la misère n'est à aucun moment montrée comme quelque chose de risible et, si rire il y a, il est d’autodérision, les femmes rient d'elles-mêmes. Lz film va au-delà de la misère de ces femmes, de leurs larmes, de leurs faiblesses, de leurs petites victoires sur elles-mêmes, sur la fatalité, sur le système. Le personnel des services sociaux, ce sont encore des femmes, bien sûr (les métiers du "care"), mal payées, entraînées dans leur roue de hamster, arrimées au devoir d’appliquer des lois injustes, faites par des gens qui n’ont aucune idée de ce sur quoi ils légifèrent. Tout changer pour que rien ne change. Il faut détermination, force de caractère et conviction pour refuser d’être un rouage, pour désobéir et, bonne nouvelle, il y a des humainEs qui désobéissent, qui risquent gros pour ça, un peu partout.
La police à 5h du mat, les injonctions qui se répercutent à tous les niveaux... Elles ne sont pas encore assez invisibles ces femmes, il faut les effacer, les repousser aux marges de la société, là où elles y atterrissent bien plus jeunes que les hommes, merci au capitalisme patriarcal !!!

 

 

 


Par valérie44 | Non Premium|
Saddhu

 

 

 

Une vraie bévue ce film comme l'autre film "Les bonnes intentions" c'est d'une chianture, dépourvu de matière, ce fut pénible d'aller jusqu'au bout même avec des pauses parce qu'il en faut pour supporter le néant. Le sujet en intéressant mais mal traité...
N'est pas Les Frères Dardenne qui veut!!!
Le seul sourire que j'ai esquissé c'est tout à la fin en cette période du Festival; le tapis rouge de matelas qu'elles piétinent fièrement escortées par les forces de l'ordre (qui allégoriquement pourraient être les badauds).
Parce que la misère sociale n'est pas, mais alors du tout, du tout RISIBLE!!!
Je me demande ce que Corinne Masiero est venue fichtre dans cette comédie sociale à rabais, si, aux vues de son histoire personnelle.
Mais est on loin, très, très loin, à des kilomètres de pellicules de" Louise Wimmer" et de "Discount".
Je vais visionner "Edmond" qui me mettra et j'en suis sûre sur une autre sphère pour m'en remettre.

 

 

 


Par Saddhu | Premium|
Leeloo

 

 

 

Bien !!
Merci !
merci

 

 

 


Par Leeloo | Premium|
GBT

 

 

 

jamais de la vie je regarderai ceci,
T'as dit ne pas vouloir devenir con et pourtant?

 

 

 


Par GBT | Non Premium|
Visiteur Maya

 

 

 

Nul.

 

 

 


Par Visiteur Maya | Non Premium|
la moutarde

 

 

 

film complétement nul, ça veut rire avec les pauvres mais au final l'entreprise fout mal à l'aise, on ne peut s'empêcher de voir des actrices friquées tenter de donner la réplique à de vraies femmes sans abris, lamy est bidon dans son rôle, masiero un poil au dessus sans +

 

 

 


Par la moutarde | Non Premium|
expauvre mais pas nouveauxriche

 

 

 

Aksé Dézaksé,
Si seulement il y avait plus de gens! Avec des si...et si tu commençais par y aller toi au lieu de causer!

 

 

 


Par expauvre mais pas nouveauxriche | Non Premium|
Ricchi e Poveri

 

 

 

Moi j'adore les pauvres ils sont parfaits
-ce n'est jamais un pauvre qui va louer un appartement que tu convoitais, ils n'ont pas d'appartement!
-ce n'est jamais un pauvre qui va te souffler ta place de parking à la dernière seconde, ils n'ont pas de voitures!
-ce n'est jamais un pauvre qui va prendre la dernière table de libre dans ton restaurant préféré, il ne vont jamais au restaurant!
-ce n'est jamais un pauvre qui va te prendra ta femme, il n'ont pas d'argent!! oui je sais c'est triste!! mais c'est pas moi qui ai crée la femme!Donc remercions les pauvres d'être pauvre!

 

 

 


Par Ricchi e Poveri | Non Premium|