Et la fête continue !

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A Marseille, Rosa, 60 ans, a consacré sa vie à sa famille et à la politique avec le même sens du sacrifice. Tous pensent qu’elle est inébranlable d’autant que Rosa est la seule qui pourrait sceller l’union de la gauche à la veille d’une échéance électorale décisive. Elle s’accommode bien de tout ça, jusqu’au jour où elle tombe amoureuse d’Henri. Pour la première fois, Rosa a peur de s’engager.

  
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  • mercilienmortthankyouplusunUnDeuxtrois
    quatrecinqsixsepthuitneufdix

Directeur de la publication

 

 

 

Le scénariste focalise sur une infime partie de la population marseillaise sans mettre la lumière sur la grande majorité : celles et ceux qui ont beaucoup plus à exprimer.
La poésie, la connaissance de l'amour, les souffrances diverses et variées, l'humanisme, des notions qui ne sont pas le monopole des petites castes de gauche ou des grandes castes de droite.

Dans ce film je ne reconnais pas Marseille ni ses réalités contemporaines, ni sa culture locale.

Ce qui est à Pagnol restera à Pagnol : le passé qui ne reviendra pas, Pomponette avait tout compris.

Deux

 

 

 


Par Directeur de la publication | Premium|
charlos

 

 

 

Il faut affirmer sans cesse que rien n’est fini, que tout commence.


Guédiguian, ce perpétuel indigné, qui, à l’instar de Ken Loach, a décidé de donner une voix et un visage à celles et ceux que, trop souvent, on n’entend et on ne voit pas.
Il arrive toujours à nous émouvoir ou nous faire rire, et toujours avec trois fois rien, avec juste la vie, comme les vrais poètes : que la fête continue !

8/10, Merci à la Team pour ce beau moment ;-)

 

 

 


Par charlos | Premium|
Peut-on-payer-en-4-fois

 

 

 

Dans ce film, ça dit que Marseille est à gauche et que tout le monde l'est aussi.
Tout y est beau, sans autres problèmes que la politique capitaliste gouvernementale.

Les kalachnikovs et les dealers sont en RTT ?

Faux, nul, zéro. Redoublement demandé.

 

 

 


Par Peut-on-payer-en-4-fois | Premium|
cbalg

 

 

 

Du pur Guédiguian. Tout y est. Marseille. La politique. L'humanisme. La difficulté de l'hôpital. Les luttes sociales. L'amour. 9/10.

 

 

 


Par cbalg | Premium|
BAC-MOINS-12

 

 

 

Mais que vient faire JP Daroussin dans ce film sur les vestiges du suicide politique de la gauche dorénavant disparate et émiettée ?
Justement, son rôle consiste à apporter un peu de poésie réaliste et de douceur de vivre dans l'univers perdu de la rose socialiste fanée par ses épines "vertes".

La réalité de la vie dans la ville de Marseille est loin du cinéma proposé. Le fil conducteur se perd dans les méandres des multiples problèmes sociaux et sociétaux auxquels toute la France est confrontée, tout en évitant les plus fâcheux de la cité phocéenne.

Une parole exprimée dans ce film qui a du sens et qui résume tout: "On ne gagnera plus ce qu'on a voulu perdre".

Tout au long du film, quelques combats individuels et groupés tentent de faire renaître l'idéal de gauche perdu en dénonçant le système et sa politique oppressante, mais en vain, pendant que la vie passe.

À ce propos de la vie qui passe inexorablement, Jean Yanne a écrit une illustration du modèle de lutte des classes politiques universelles:
"Le monde est peuplé d'imbéciles qui se battent contre des demeurés pour sauvegarder une société absurde".

quatre par respect pour Jean Pierre Daroussin qui compte parmi les rares grands comédiens qui ont toujours refusé de s'exposer à la fausse lumière des médias manipulateurs.

 

 

 


Par BAC-MOINS-12 | Premium|